Aéroprotec est sur le chemin pour faire passer le traitement de surface dans une nouvelle ère. La société paloise, spécialisée dans les composants pour l’aéronautique et l’aérospatiale, vient de déposer un brevet en France et à l’international sur un nouveau revêtement, issu d’une biomasse, qui permettrait de remplacer le traitement de surface et la peinture en une opération.
Ce processus serait à la fois un gain de temps et une opportunité en matière écologique. Les travaux ont été réalisés conjointement avec l’université de Cergy-Pontoise et le doctorant Quentin Murat-Thuillier (au milieu sur la photo).
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