D’ici 2030, les magasins devront avoir 20 % de leur surface de vente consacrée au vrac. Pour trouver la solution adéquate, il suffit de se tourner vers « Créaluz », la pépinière d’entreprises luzienne. Son nom : Mayam. La start-up a mis au point une application et un QR code permettant au consommateur d’avoir les informations nécessaires sur les produits et la possibilité de peser ses achats. Les magasins, eux, peuvent gérer leurs stocks de vrac en temps réel grâce à Mayam. Présente dans des enseignes du 64, la société de Sébastien Leflond vient de réaliser une levée de fonds de 443 000 euros.
Avec un objectif clair : viser 10 000 supermarchés.
Mayam
mayam.io
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